Je défend l'accusé.

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Ces bêtes haïes rejetées,
Leur vision fait hurler les gens,
De tout malheur les affligeant,
Maladies leur sont imputées.

Peste, ménagère affolée!
Ce diable la terrorisant,
L'hystérie la pauvre frisant,
Dans l'allée court échevelée.

Les hommes s'arment d'un bâton,
Dans une grange, là, l'acculent,
Piégé l'animal ne recule,
Protège tes bijoux Gaston!

Plus petit que toi, oui, mais brave,
Ainsi dans ton piège enfermé,
De ses griffes et dents armé,
Devient cruel si tu l'entraves.

Tu passes ton chemin tranquille,
Il va par le sien t'ignorant,
A ses occupations se rend,
Pacifique, n'est pas débile!

Moi, te considère en copain,
T'ignore si tu es sauvage.
Trottine sur allées rivages,
Viens, je te donnerai du pain.

Un rat blessé récupéré,
Pansé chouchouté, on le soigne.
Ô non! Pas besoin de castagne,
Chez le véto, non effaré.

Reconnaissants, les animaux,
Êtres sensés je vous le clame,
Comme l'humain, ils ont une âme,
Ne sont responsables des maux.

Des rats chez moi ont eu le gîte,
Réfléchis, gentils merveilleux,
Ils s'adaptent, vrai, en tout lieux,
Je te vois, si peureux t'agites...

Si envers eux tes sentiments,
Folle phobie tu la contrôle,
Tortionnaire ne tiens le rôle,
Ils ne te créeront de tourments!

Ah, comme on se retrouve amie des bêtes

Très beau partage Amélie

Gm beaucoup!

Avec toutes mes amitiés, gmlavie

Joliment touné ce poème ou tu réussirais presqu'à les faire aimer de tous...  , j'ai beaucoup aimé ton style, amitiés du Loup.

une jolie sourie verte qui cours sur ton texte je l'attrape et je la mange et j'en ris encore bibi

moi qui passe régulièrement à Moissy je suivrais donc le rat pour te trouver
ha la photo ..!n'est pas je pense la plus adéquat pour les faire aimer tes amis